La reprise des ruines d'Orodost

Suite à la découverte d'une présence gobeline dans le Val de Thraïn, le seigneur Dwalïn a envoyé des troupes éradiquer les intrus avant qu'ils ne deviennent une menace trop importante. La compagnie est présente lors de cette bataille.

 Afin de prendre l'ennemi par surprise et de le pousser à sortir de ses retranchements, un groupe de nains, parmi lesquels la compagnie, est placé en tant qu’appât. Le stratagème fonctionne : plusieurs dizaines d'orcs quittent les ruines pour se ruer sur les gens de Dwalïn. Ces derniers se replient alors hors du vallon, vers une position où dl'avant-garde des troupes envoyées par le palais prennent les gobelins en embuscade, avant de fondre sur les ruines alors que l'ennemi n'est pas en ordre de bataille. Les nains de la compagnie attendent pour leur part le restant des forces, prenant par la même occasion un peu de repos.
 Quand ils rejoignent le grand escalier d'Orodost, les combats font rage. Les nains ont l'avantage, la tactique employée a marché : ils ont pu pénétrer les ruines efficacement avant qu'une résistance construite n'apparaisse. La partie extérieure des ruines ne tarde pas à tomber totalement sous le contrôle des assaillants. Cependant, alors que ceux-ci s'apprêtent à pénétrer sous la montagne, voici que les orcs leur réservent une surprise : alors qu'une partie de l'armée a dépassé la herse clôturant l'accès aux halls souterrains, celle-ci est abaissée, scindant les troupes naines en deux. On dépêche alors un groupe d'ingénieurs pour forcer la herse, tandis ce qu'un autre groupe, dont quelques membres de la compagnie, cherchent une autre voie d'accès. Après une bonne escalade sur les toits des bâtiments externes à l'aide de cordes et grappins, ce groupe parvient à contourner l'entrée principale et à accéder au treuil relevant la herse.
 La première partie de la reconquête des ruines est terminée. Désormais, il faut se hâter de retrouver l'avant-garde piégée sous terre. Ce qu'ils trouveront exactement dans les entrailles de la montagne, les nains l'ignorent. C'est néanmoins avec détermination qu'ils s'aventurent dans les grands halls de leurs ancêtres.